Tout savoir sur la comptabilité analytique

La comptabilité est un métier qui demande un certain savoir-faire. Les passionnés du calcul et de la mathématique sont souvent les plus intéressés. Dans une entreprise, le comptable assure la gestion de l’argent qui entre et qui sort. Le résultat sera meilleur avec un bon comptable, car l’entreprise va gagner beaucoup d’argent. Retrouvez dans cet article la définition, rôle et un exemple du calcul du coût dans la comptabilité analytique.

Définition et rôle

La définition de la comptabilité analytique n’est pas la même que celle de la comptabilité générale. Effectivement, la comptabilité générale offre une vision globale du calcul et du compte de l’entreprise. La comptabilité analytique, comme son nom l’indique, consiste à faire une analyse précise des activités de l’entreprise. Cette méthode offre plusieurs avantages à l’entreprise parce que la gestion d’argent sera plus simple.

La méthode analytique consiste à repérer les coûts que la société doit payer. Il y a par exemple la production, la commercialisation, les impôts, les services après-ventes et autres. Chaque entreprise possède ses propres activités. C’est par rapport à cela qu’il faut faire l’analyse

Elle permet également de connaître la base des évaluations de quelques éléments sur le bilan comptable. Vous pouvez vous en servir pour l’évaluation des stocks. Elle est alors utile pour avoir de la prévision, des économies et reconnaître comment ça se fait. C’est également un des outils pour les contrôles budgétaires. La production de certains produits pourra par exemple être stoppé si vous connaissez que les gens ne les achètent pas trop

Calcul des coûts

En comptabilité analytique, il existe beaucoup de méthodes pour le calcul des coûts. Découvrez les méthodes les plus courantes en ce moment.

Les coûts complets

La méthode des coûts complets se fait par la différenciation de la charge directe et indirecte. Les charges variables dans la comptabilité générale sont à ventiler entre la charge non incorporable et la charge incorporable.

La charge non incorporable est en général les charges occasionnelles ou ceux que l’activité de l’entreprise ne produit pas. Pour cette méthode, la charge non incorporable n’est pas à prendre en compte. La charge incorporable va être utilisée comme base pour le calcul des coûts. C’est en sachant cela que le comptable va distinguer la charge directe et indirecte.

Pour la charge directe, vous pouvez immédiatement l’attribuer au coût d’un produit. Pour la charge indirecte, il est nécessaire de faire un calcul préalable dans les deux centres d’analyse suivantes :

  • Le centre auxiliaire, c’est l’activité fonctionnelle commune aux fonctionnements de la société.
  • Le centre principal est la fonction propre de la société. Dans ce dernier, il y a le centre opérationnel. Les activités peuvent être mesurées avec l’unité physique sous le nom d’unité d’œuvre. Le coût de l’unité d’œuvre est égal au coût du centre divisé par les nombres d’unités d’œuvres. Il y a également le centre de structure, qui utilise la fonction des assiettes conventionnelles. En divisant les coûts du centre par les montants de l’assiette, le résultat sera le taux de frais. 

Les méthodes ABC

ABC vient de l’anglais « Activity Based Cost ». Ce sont des méthodes de coût par activités. Dans ces méthodes, l’activité consomme plus de ressource que les produits. Il est nécessaire de détailler l’entreprise par ses activités plutôt qu’à la production. L’indicateur remplace l’unité d’œuvre des méthodes coûts complets

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